Signée par 150
Chefs d’État et de Gouvernement lors du Sommet de la Terre de Rio en
1992, la Convention sur la diversité biologique vise à promouvoir le
développement durable. Conçue comme un outil pratique pour traduire
dans les faits les principes de l’Agenda 21, la Convention reconnaît
que la diversité biologique ne se limite pas à la question des plantes,
des animaux et des micro-organismes et leurs écosystèmes respectifs;
elle va plus loin pour aborder la problématique de l’homme et de ses
besoins en sécurité alimentaire, en médicaments, en air salubre, en eau
potable, en logement ainsi que ses aspirations à un environnement
propre et sain où il sera possible de vivre.
Extrait de The Convention on biological diversity