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dimanche 18 septembre 2005
Nelson Mandela, ancien président sud-africain
- C'est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraie le plus.
- Ce ne sont pas les rois et les généraux qui font l’histoire, mais les peuples.
- La meilleure réparation de la souffrance des victimes – et la plus haute reconnaissance de leur engagement – est la transformation de notre société en une image vivante des droits de l’homme pour lesquels elles ont lutté.
- Nous ne sommes pas encore libres, nous avons seulement atteint la liberté d'être libres.
- Pour faire la paix avec un ennemi, on doit travailler avec cet ennemi, et cet ennemi devient votre associé.
- Pour les pays en développement et pour la génération actuelle, le Commerce juste est un moyen réellement important qui permet aux pays développés de montrer leur engagement à mettre fin à la pauvreté mondiale.
Source : WikiQuote
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mardi 30 août 2005
Source : Wikiquote
- Avant notre venue, rien ne manquait au monde ; après notre départ, rien ne lui manquera.
- C’est la douleur publique qui fait la douleur des rois, et non leur propre douleur. Édit des hôpitaux de Jayavarman (XIIe siècle)
- Ce que l'on n'apprend pas par la sagesse, on l'apprend par la souffrance.
- Changer d'avis c'est changer de vie.
- Il n'y a pas de grande réalisation qui n'ait été d'abord utopie.
- Je crois au soleil même quand il ne brille pas.
- L'optimiste rit pour oublier ; le pessimiste oublie de rire.
- La beauté n'a pas d'importance puisque l'amour est sans visage.
- La porte peut être porte pour celui qui sait mais barrière pour celui qui ne sait pas.
- La vérité n'est la propriété de personne.
- Le savoir appelle l'acte. Si l'acte ne vient pas, le savoir s'en va.
- Le vrai courage est parfois celui de choisir.
- Les habitudes sont d'abord comme des fils d'araignées, puis elles deviennent comme des câbles.
- Les hommes qui s'entendent parfaitement avec les femmes sont en général ceux-là mêmes qui sont capables de s'en passer
- Les travailleurs méritants sont ceux qui font bien un travail qu'ils n'aiment pas.
- Maîtriser ses sentiments ne consiste pas à les reprimer, mais à les cultiver ...
- Nous n'avons pas une âme. Nous sommes une âme qui possède un corps.
- Nous ne condamnons chez l’autre que ce que nous n’avons pas encore accepté en nous-mêmes.
- Qu'est-ce qu'un don sincère ? Celui pour lequel on n'attend rien en retour. Prasnottaramâlikâ
- Si la base est solide, la maison est solide. Extrait de Yi-King
- Si vous n’avez pas le courage de le faire alors faîtes le sans courage !
- Surveille tes pensées, car elles deviennent tes mots.
Surveille tes mots, car ils deviennent tes actions.
Surveille tes actions, car elles deviennent tes habitudes.
Surveille tes habitudes, car elles deviennent ton caractère.
Surveille ton caractère, car il devient ton destin.
Mais n’oublions surtout pas qu’hier est de l’histoire ancienne, demain est un mystère et aujourd’hui est un cadeau !
- Un ami n'est pas celui qui veut ton bien, c'est celui qui ne te fait pas de mal.
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jeudi 4 août 2005
Sir William Petty (1623-1687) est à l'origine des mathématiques économiques.
Il donne une bonne définition de la richesse :
- Le
travail est le père et le principe actif de la richesse, comme la terre
en est la mère. (Oeuvres économiques de sir William Petty, tract. par
H. Dussauz et M. Pasquier, Paris, Giard et Brière, 1905.).
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lundi 1 août 2005
John Fitzgerald Kennedy était le 35ème président des Etats-Unis d'Amérique
- Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez vous ce que vous pouvez faire pour votre pays. (Discours d'investiture, 20 janvier 1961)
- Si la société libre ne parvient pas à améliorer le sort de la majorité des pauvres, elle ne pourra pas sauver la minorité des riches. (Discours d'investiture, 20 janvier 1961)
- Il ne faut jamais se laisser abattre.
- L'humanité devra mettre un terme à la guerre, ou la guerre mettra un terme à l'humanité.
- Le vrai politique, c'est celui qui sait garder son idéal tout en perdant ses illusions.
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Niel Armstrong était un astronaute et pilote d'essai américain.
Il est le premier à avoir marché sur la Lune.
Lorsqu'il a posé le pied sur la Lune, il a déclaré :"That's one small step for [a] man, one giant leap for mankind." (Apollo 11, 20 juillet 1969).Le son n'étant pas très audible, on a cru que le "a" devant "man" n'était pas prononcé, mais Niel a affirmé par la suite qu'il l'avait bien dit.
Traduction : "C'est un petit pas pour un homme, mais un pas de géant pour l'humanité."
Il aurait dit aussi : "I believe that every human has a finite number of heartbeats. I don't intend to waste any of mine running around doing exercises."
Traduction : "Je crois que chaque être humain a un nombre fini de battements de coeur. Je n'ai donc pas l'intention de gaspiller un battement en courant faire mes exercices."
On sait que lorsque le module lunaire s'est posé sur la Lune, son pouls était de 80 ou 110 pulsations par minute alors que son voisin astronaute Buzz Aldrin avait son pouls à 160 pulsations par minute ; situation justifiée par un réservoir de carburant presque vide et un ordinateur de bord saturé. C'est donc un homme de sang froid extraordinaire..
Source :
wikipedia
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